C'était il y a longtemps, mais pas si longtemps que ça, j'écrivais :
"Depuis le 1er janvier, il y a eu le 7 janvier. Prochainement un article pour la radio en podcast et sur les peines de coeurs d'une chatte anglaise puis française"
L'article sur la radio en podcast n'a pas été écrit, le commentaire sur "Les peines de coeur d'une chatte anglaise ... " non plus. Pourtant il suffit de dire qu'il est très pratique d'écouter en podcast sur un balladeur une émission que l'on n'a pas pu suivre en direct et que "Les peines de coeur d'une chatte anglaise" est un spectacle magnifique d'Alfredo Arias et un dialogue entre les époques, les continents, les cultures, comme on les aime.
Evidemment, on pourrait développer : Les peines de coeur d'une chatte .... c'est un texte de Balzac, illustré, adapté, présenté au théâtre Gérard Philippe en 1977. La radio, la voix des ondes, dans la nuit, le travail, le temps volé...
Les jours se succèdent, les mois, les saisons, les années.
Depuis le 1er janvier 2015, il y a eu le 7 janvier et l'attentat sur Charlie Hebdo, et maintenant le 13 novembre et l'attentat sur le Stade de France et le Bataclan et les terrasses alentour.
D'un hiver à l'autre la roue tourne, je vais être grand-tante, l'horizon s'éclaircit, il s'assombrit aussi.